Problèmes liés aux traitements des bois

Le traitement du bois dans la construction – les pathologies du bois.

On entend par pathologies du bois dans la construction l’ensemble des dégradations rencontrées sur les bois mis en œuvre dans la construction.

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Charpentes, bardages, lambris intérieur extérieur, parquet, etc.

Sensible au feu, à l’eau, aux insectes et aux champignons, le bois doit subir divers traitements chimiques avant d’être utilisé dans la construction. Mais les produits employés peuvent présenter certains dangers pour la qualité de l’air intérieur et pour la santé…

Une fois coupé, le bois est un matériau qui perd nombre de ses caractéristiques naturelles. Parce qu’il est un matériau issu du végétal, contenant notamment de la cellulose et de la lignine, il se montre à la fois très combustible, particulièrement sensible à l’humidité, et vulnérable aux attaques de nombreux micro-organismes, champignons, bactéries et insectes. Les champignons lignivores, les insectes xylophages et autres termites, qui prolifèrent sur ce matériau dans des conditions humides, peuvent même détruire le squelette du bois (en causant des pourritures ou en creusant des galeries) et donc fortement altérer les propriétés mécaniques du matériau et la solidité de la structure.

Pour être protégé contre toutes ces menaces, le bois de construction doit donc subir des applications de fongicides et d’insecticides, qui s’ajoutent aux divers traitements chimiques nécessaires contre le feu, contre l’humidité, et pour améliorer la durabilité ou la facilité d’entretien. Autant de produits chimiques qui sont susceptibles de présenter certains dangers pour l’air intérieur des maisons et pour la santé de leurs habitants, en particulier à cause des composés organiques volatils (COV) qu’ils peuvent contenir.

A toutes ces substances, s’ajoutent également les colles et les résines, utilisées pour assembler les panneaux de bois (placages, contreplaqués, agglomérés, lamellés-collés, etc.), qui comptent également parmi les principaux émetteurs potentiels de COV… Tout comme les produits de finition : peintures, vernis, lasures, cires synthétiques…

Pour toutes ces raisons, les panneaux de bois reconstitués (agglomérés) figurent parmi les principaux matériaux de construction émetteurs de COV identifiés par l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail), au même titre que le bois de charpente et les planchers, les peintures, les vernis, les mousses isolantes, les moquettes ou les revêtements de sols. D’autant que le bois émet déjà, naturellement, des composés organiques volatils, en particulier du formaldéhyde et des terpènes, qui donnent au bois fraîchement coupé son odeur caractéristique.

Les COV   (composés organiques volatils)

Ces composés organiques volatils (COV) ont la capacité de s’évaporer à la température ambiante et de se répandre dans l’air, provoquant des effets néfastes sur la santé : irritations de la peau, des muqueuses ou du tractus respiratoire, nausées, céphalées… Certains COV sont même classés, selon l’Anses, « cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction ». 

Or, selon une étude menée sur près de six cents habitations représentatives du parc de résidences français par l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur (OQAI), on trouve des COV dans 100 % des logements. 10% d’entre eux sont même qualifiés de « multi-pollués » car ils présentent trois à huit des COV mesurés à de fortes concentrations, 15% sont « pollués » (un à deux composés présents à de fortes concentrations), et 30% « légèrement pollués » (quatre à sept composés présents à des concentrations supérieures aux médianes de l’ensemble des logements). Seuls 45% des logements sont considérés comme « peu pollués ».

Principaux composés identifiés : le formaldéhyde, l’hexaldéhyde, le toluène et l’acétaldéhyde, qui sont mesurés à des concentrations nettement supérieures à l’intérieur des habitations (notamment en bois) qu’à l’extérieur. Selon l’Anses, ces sources de pollution intérieure sont constituées par les occupants et leurs activités (fumée de tabac, combustion de bois ou de charbon, cuisine, bricolage, utilisation de produits d’entretien ou de désodorisants) d’une part, et par les produits de construction, de décoration, d’ameublement et de bureautique d’autre part.

C’est pourquoi, depuis le 1er janvier 2012, la réglementation française impose une étiquette pour classer les matériaux de construction et de décoration en fonction du taux de composés organiques volatils qu’ils émettent moins  de A+ (très faibles émissions) à C (fortes émissions).

Selon l’Anses, les émissions de COV peuvent aller d’une pollution ponctuelle lors de l’utilisation d’un produit ou d’une activité particulière à une pollution à long terme lorsque les COV sont émis sur plusieurs années par certains matériaux de construction. Les effets potentiels sur la santé humaine des COV peuvent par conséquent être « aigus » s’ils sont liés à une exposition sur une courte période ou « chroniques » s’ils sont liés à une exposition continue sur une longue durée. Par ailleurs, si les effets de certains COV étudiés individuellement sont bien étudiés, leurs effets combinés dans le cas d’une exposition simultanée restent souvent méconnus.

Favorisant l’émergence de symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge et de la peau, vertiges, ainsi que des manifestations allergiques et de l’asthme, les expositions de longue durée à certains polluants peuvent même entraîner des pathologies respiratoires, neurologiques ou cardio-vasculaires graves, voire le développement de cancers. Les enjeux sanitaires et économiques liés à la qualité de l’air intérieur sont donc majeurs. Au-delà de l’impact sur la santé humaine, l’Anses a ainsi estimé à 19 milliards d’euros par an le coût de la mauvaise qualité de l’air intérieur. Les maisons en bois ne sont donc pas si bonnes pour l’environnement et la santé que l’on veut bien le dire.

Notre entreprise, et notre cabinet d’expertise,  résout tous vos  problèmes liés aux pathologies des bois et de vos charpentes  Pour réduire tous risques de détérioration :

De l’apparition de trou à la surface, de problèmes d’humidité, d’insectes, de champignon, etc.

Avec la collaboration de nos partenaires spécialisés, collaborant avec notre bureau d’études techniques depuis plusieurs années,  nous mettons en œuvre des traitements fongicides très efficaces, ainsi qu’une prestation de ventilation dans le but de diminuer le taux d’humidité dans votre maison, Nous pouvons résoudre tous les problèmes de vos matériaux en bois, après expertise par notre cabinet J.D.T.G.

Expérimentés, Professionnels, indépendants, Compétents et Réactifs, avec une équipe à votre écoute.

 Grâce à notre expertise, nous sommes également en mesure de vous prodiguer des conseils en entretien de charpente, et de toutes  structures en bois afin d’assurer la pérennité et la stabilité de votre maison. 

Diagnostiquer la présence d’humidité et d’insectes dans une charpente

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Le rôle de la charpente est, bien évidement, de supporter le toit  la couverture et de répartir son poids entre des charges verticales et horizontales. Elle participe aussi à la cohésion des murs extérieurs porteurs de la construction et doit supporter les charges supplémentaires liées à la neige, au vent et aux précipitations. Constituée de diverses pièces en bois, la charpente est un élément central de l’ossature d’une maison.

Mais elle joue aussi un rôle crucial dans la stabilité des murs (plus particulièrement dans les maisons anciennes). Il est dont très important de repérer et de diagnostiquer rapidement les éventuels problèmes. Au niveau de la charpente, ils sont liés à son humidification du fait d’infiltrations de couverture, générant des risques de pourriture du bois et favorisant le développement des larves d’insectes xylophages. Il peut en résulter une fragilisation des pièces de charpente, des déformations structurelles et un désassemblage des éléments qui la composent.

Les principales causes de dégradation des charpentes

Les signes extérieurs

La présence de fuites régulières, même minimes, en toiture, peut être non seulement la cause mais aussi la conséquence d’un problème de charpente. Cela peut en effet indiquer que celle-ci bouge en raison d’un manque de solidité structurelle qui commence à émerger et qui peut être lié à d’autres causes plus profondes, comme une infestation d’insectes ou de champignons.

Une toiture en mauvais état met en péril la santé de votre maison, c’est pourquoi sa maintenance régulière par un professionnel est indispensable !

Diagnostics immobiliers contre les insectes xylophages

L’état parasitaire est un diagnostic obligatoire en cas de vente d’un bien, notre entreprise ne réalise pas ce type de prestation, mais des expertises techniques.
Les insectes détectés sont bien moins dangereux et plus faciles à traiter que les terribles termites ou que la redoutable mérule. (Ce champignon ravageur,

La Mérule a besoin d’humidité. D’autres facteurs physiques peuvent également intervenir pour favoriser son développement et son action de destruction (confinement, atmosphère non ventilée…). La température joue aussi son rôle : en dessous de 18-20°C, La mérule a une vie ralentie et il en est de même au-dessus de 30°C.

Lorsque les conditions décrites ci-dessus sont remplies, les filaments issus des spores s’étendent dans toute la masse du bois et forment ce que l’on appelle le mycélium. En surface, la Mérule forme des paquets d’ouate et des filaments appelés syrrotes qui prospectent à travers les joints de maçonnerie sur plusieurs mètres jusqu’à trouver une source d’humidité nécessaire à la survie du champignon.

La Mérule peut se développer sur n’importe quelle essence de bois et en particulier sur les bois résineux. Elle transforme le bois en substance cassante et sèche.

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Infiltrations et infestations dans les structures en bois de la  maison

Il est impératif de détecter rapidement tout problème d’humidité, d’infiltration, de toute présence d’infestation et de détérioration des bois générant des désordres de votre maison.

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Plusieurs «espèces » d’insectes xylophages sont à l’origine de la dégradation des bois des habitations.

Termites, insectes à larves xylophages, champignons… au moins 152 espèces nuisibles pour le bâti ont été répertoriées.  La mérule est l’un des plus redoutables de ces fléaux des maisons car elle occasionne de coûteux et lourds travaux d’assainissement de la construction (mise à nu des bois de structure), de traitement chimique, et de remplacement ou de renforcement des parties qui ont perdu toute résistance mécanique. Ce champignon se développe rapidement et s’attaque au bois et à tout ce qui contient de la cellulose, de la cave au grenier… Il peut s’autoalimenter  en eau par le biais de cordons mycéliens ou “Syrrotes”, qui traversent sols et maçonneries.

Elle s’attaque à toute la structure de la maison : bois, ciment, brique, fils électriques

Y compris dans les constructions neuves, elle se développe en profondeur dans les murs. Ses spores minuscules sont présentes un peu partout dans l’environnement. Elles végètent, dans l’attente de conditions adaptées.

Au pire des cas, votre maison peut tout simplement s’écrouler si le mérule n’est pas traité à temps.

Quels sont les principaux problèmes rencontrés sur une charpente ?

Plusieurs problèmes peuvent être constatés sur une charpente et nécessitent une rénovation.

L’usure, le vieillissement

Le passage des ans, des saisons, la succession des périodes de froid, de gel et fortes chaleurs, l’humidité, la sécheresse ou encore le vent contribuent peu à peu à fragiliser une charpente.

Dans le cadre de la rénovation, il convient alors de procéder au remplacement des pièces usées.

Les infiltrations

Malheureusement, votre toiture est exposée aux intempéries. Si celle-ci est mal isolée d’origine ou encore si le vent soulève quelques tuiles, la pluie peut s’infiltrer et atteindre la structure de la charpente.

Il est alors nécessaire de repérer et réparer la fuite avant de remplacer les pièces de la charpente abîmées ainsi que l’isolant qui aura été imbibé par l’eau de pluie.

L’humidité

La charpente est un milieu chaud et humide qui retient la chaleur au sein de la maison ainsi que l’humidité naturellement émise au sein du foyer par ses occupants et leurs activités. Lorsque l’humidité s’étend, elle favorise le développement de champignons, dont la  mérule. Cette dernière forme des plaques ressemblant à du coton, de couleur blanche à jaune et elle dégage une forte odeur d’humidité.

Il est conseillé de procéder à un traitement adapté sans attendre, car ces parasites peuvent provoquer, à terme, un effondrement de la charpente.

Les termites

Malheureusement, il n’est pas facile de repérer la présence de termites dans la charpente, car ces insectes avalent la sciure qu’elles rongent pour percer la structure. Ainsi, sans traces de rejets de sciure, il faut se montrer minutieux et éplucher les éléments en bois à la loupe pour détecter de tous petits orifices qui strient la surface à intervalles réguliers. Frapper sur le bois, il sonne creux lorsque les termites l’ont envahi.

Il est impératif de traiter rapidement le bois afin d’éliminer totalement les nuisibles et de procéder au remplacement des éléments de la structure qui ont été touchés, en raison de leur fragilité.

Les insectes xylophages

Certains insectes, comme les capricornes, les vrillettes ou les lyctus sont dits xylophages, comme les termites. Les capricornes procèdent comme les termites, c’est-à-dire qu’ils ingurgitent et digèrent la sciure avalée sans faire de rejet. Pour les identifier, il suffit de coller son oreille sur le bois, car ces insectes sont très bruyants lorsqu’ils creusent leurs galeries. Quant aux vrillettes et aux lyctus, ils se remarquent par les trous et la sciure qu’ils laissent tomber au sol. La surface du bois est également marquée de petites stries et il peut se bomber au niveau des galeries.

Comme dans le cas des termites, il est important de traiter rapidement le bois touché et de remplacer les parties altérées et fragilisées.

La plupart des bois de charpente sont aujourd’hui traités en prévention pour les protéger de l’humidité, des champignons, des moisissures et des insectes xylophages. Toutefois, surveillez votre charpente régulièrement et procédez à certains autres traitements préventifs au fil des ans, si possible tous les 10 à 20 ans. Cette solution vous coûtera deux à trois fois moins chère qu’un traitement curatif. De même, remplacez les tuiles endommagées et remplacez l’isolant imbibé en cas d’infiltration.

La moisissure sur le bois

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Comme la plupart des gens, vous êtes entouré de bois dans votre maison, que ce soient vos planchers, vos meubles, ou même dans certains cas votre maison en elle-même.

Quelles sont les causes de l’apparition de moisissure sur le bois?

Lorsque de l’humidité, de la chaleur et une source de nourriture (des matériaux organiques comme le bois, le papier ou les plantes) sont combinées, la moisissure peut se développer.

Malheureusement, la plupart des gens vivent dans de telles conditions: nous sommes en effet entourés de matériaux organiques, nous remplissons nos maisons d’humidité, par exemple du fait de nos salles de bains, et, enfin, nous maintenons nos maisons à des températures assez élevées.

Les méthodes de construction modernes encouragent encore plus la prolifération de moisissure, en faisant par exemple appel à plus de bois dans la structure des maisons individuelles, ce qui plus de nourriture potentielle pour la moisissure.

Constat : Un film plastique sur du bois utilisé comme pare-vapeur par certains entrepreneurs

Les entrepreneurs en bâtiments essayent désormais de prévenir la formation de moisissure en utilisant du film plastique comme pare-vapeur. En pratique, toutefois, ces protections ne vont pas faire grand chose d’autre que de piéger l’humidité dans vos murs, accélérant de ce fait l’apparition de champignons.

Par ailleurs, la tendance à rendre les bâtiments éco-énergétiques réduit la circulation de l’air entre l’intérieur et l’extérieur. Les techniques de constructions plus anciennes, par exemple grâce à l’utilisation de la brique, permettaient à l’humidité de s’évacuer à travers des murs poreux, ce qui n’est plus possible avec les techniques les plus modernes.

Cette tendance permet certes de réduire votre consommation d’énergie mais elle augmente aussi de manière drastique la rapidité et l’intensité d’une contamination à la moisissure.

La moisissure noire sur le bois : quels sont les dangers ?

Sur du bois, une prolifération de moisissures noires va poser les mêmes risques que sur toute autre surface.

Les spores vont en effet remplir l’air de votre maison, et pourront donc être inhalés par ses occupants, ce qui va provoquer des maux de tête, de la fatigue, des allergies, des crises d’asthme, et, dans certains cas, des cancers et des maladies incurables.

Cependant, la moisissure sur du bois vous fait courir d’autres risques, en plus des dangers pour votre santé. Si elle pénètre suffisamment profondément, la moisissure peut affaiblir les structures en bois de votre maison jusqu’à menacer son intégrité.

Il est d’ailleurs probable que vous ayez déjà vu des bâtiments agricoles dans un état de négligence tel que les murs et les toits en venaient à se gondoler. Dans ce tels cas, la structure du bois est tellement infestée de moisissure qu’il en vient à plier sous son propre poids. La même chose peut se produire avec votre maison si vous n’êtes pas suffisamment vigilant.

Comment identifier de la moisissure sur du bois ?

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Sur du bois, la moisissure noire est très courante. Elle est aussi très souvent négligée. La plupart du bois dans une maison va être caché derrière les murs (sur des poutres structurelles par exemple), la moisissure peut donc proliférer pendant longtemps avant qu’elle ne devienne visible. Lorsqu’elle l’est, de plus, elle peut être confondue avec une coloration naturelle du bois.

Tout le bois de votre maison devrait faire l’objet d’une inspection de moisissure par l’un des experts du cabinet J.D.T.G. Malheureusement, la popularité grandissante des meubles bon marché en aggloméré n’a pas rendu les gens plus sensibles à ce risque.

Un meuble a beau ne pas être fait de “vrai” bois, il n’est pas exempt du risque d’être contaminé par de la moisissure. L’aggloméré reste du bois, bien que ce dernier ait été transformé.

Les particules et petits morceaux qui le composent sont en effet tout aussi vulnérables qu’un meuble en “vrai” bois. Ne négligez donc pas cette matière, inspectez-la comme tous les autres meubles en bois de votre maison.

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Il n’est hélas ! Pas aussi facile de détecter et d’identifier la moisissure à l’intérieur de vos murs. Un expert en moisissure qualifié du cabinet J.D.T.G, pourra toutefois s’en charger en faisant appel à une large variété de techniques de détection pour débusquer toutes les moisissures cachées dans votre bien

Inspection et détection de moisissures au cabinet d’expertises J.D.T.G

Elles produisent en effet de la chaleur, qu’un scan infrarouge pourra révéler, y compris à l’intérieur de vos murs.

Êtes-vous inquiet à cause de ces taches noires au plafond, d’une décoloration de vos murs, ou bien encore à cause d’une accumulation d’humidité chez vous? Avez-vous récemment, par ailleurs, remarqué une odeur de renfermé ou de moisi dans votre sous-sol? Et qu’est-ce cette condensation sur vos fenêtres ?

Tous ces signes sont typiques d’un problème de moisissure, ils sont pourtant souvent ignorés. En tant que propriétaire, vous devez être conscient des dangers de la moisissure noire sur votre santé, et de la facilité avec laquelle elle peut se propager. Ne pas traiter ce problème est donc une solution qui n’est ni sécuritaire, ni efficace.

La moisissure noire toxique n’est pourtant pas toujours facile à repérer. Elle peut en effet se former derrière les murs du sous-sol, sous le carrelage de la salle de bain, et dans de nombreux autres endroits, invisibles pour les occupants de la maison. Il existe cependant toujours des signes qui la trahissent, c’est pour cela que vous avez besoin de l’aide d’un expert du cabinet J.D.T.G.

Tous les signes de moisissures devraient être analysés par un expert formé, et expérimenté du cabinet J.D.T.G, qui sera capable d’effectuer un test de moisissures dans votre maison pour confirmer, ou infirmer la présence de moisissures. L’expert  du cabinet J.D.T.G effectuera par ailleurs une inspection de la zone impactée à l’aide d’une caméra thermique, et utilisera un humidimètre pour identifier tous les problèmes potentiels

Grâce à toutes ces données, vous recevrez un rapport d’inspection détaillé, un avis technique  et, si nécessaire, un énoncé des travaux ainsi qu’une estimation chiffrée pour le chantier d’élimination de la moisissure.

Les pièces suivantes sont celles où, le plus de chance de voir de la moisissure proliférer :

  • La salle de bain
  • Le sous-sol
  • L’entre- toit
  • La chambre froide
  • Les chambres à coucher
  • Le vide-sanitaire
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Un test de la qualité de l’air (par notre partenaire) pourra par ailleurs identifier les spores de moisissure en suspension dans l’air, que l’inspecteur en qualité de l’air pourra rechercher pour remonter jusqu’à leur source.

Comment se débarrasser de la moisissure sur du bois ?

Si vous avez repéré de la moisissure sur le bois de votre maison, il existe plusieurs solutions pour vous en débarrasser. De nombreux produits d’entretien (l’eau de javel, le liquide vaisselle ou le vinaigre par exemple) sont efficaces lorsqu’il s’agit d’éliminer de petites colonies de moisissures.

Un traitement chimique est lui aussi possible. Il sera en effet plus agressif, et donc efficace, qu’un produit d’entretien classique.

Cependant, certains produits anti-moisissure sont corrosifs et peuvent endommager le bois.

Avant d’utiliser des produits plus puissants, assurez-vous que les substances en  question ne puissent pas dégrader l’apparence ou l’intégrité structurelle du bois.

Le bois est poreux, la moisissure peut donc s’infiltrer assez profondément dedans. De ce fait, même si vous avez éliminé toute la moisissure de surface, des volumes importants de moisissure peuvent toujours être présents à l’intérieur du matériau. Même cachée, la moisissure peut continuer à impacter la qualité de votre air intérieur, en répandant ses spores à travers votre intérieur.

Par ailleurs, nettoyer la moisissure de surface est une solution qui n’est généralement que temporaire. En agissant de la sorte, vous n’allez pas traiter le problème à sa racine. La moisissure que vous allez nettoyer peut ainsi réapparaître une semaine plus tard. Dans de tels cas, il est en effet possible que vous ayez affaire à une fuite invisible, ou bien à une accumulation d’humidité due à un problème de ventilation.

 La seule solution pour résoudre ces problèmes va donc être de faire appel à un expert professionnel de la moisissure du cabinet J.D.T.G, qui viendra inspecter votre maison et pourra identifier les sources du problème.

Le cabinet  J.D.T.G  vous  recommande de faire appel à un professionnel expert de son cabinet  si la colonie fait plus de 1 mètre carré de surface. Passé ce plancher, les risques liés aux solutions individuelles surpassent largement les bénéfices d’une expertise et de son élimination efficace et sécuritaire de vos moisissures par un technicien  qui possédera l’équipement et les connaissances nécessaires.

Dans certains cas extrêmes de prolifération, éliminer le bois est la seule solution. S’il s’agit d’un meuble, cela ne sera pas un problème bien sérieux. Cependant, si le bois en question fait partie de votre maison, par exemple une charpente, le travail va s’avérer bien plus ardu. Le bois pourra par exemple être plus difficile d’accès, ce qui va nécessiter de démolir une partie de votre maison (par exemple en retirant des cloisons sèches). Dans certains cas, les poutres de bois contaminées pourront même porteuses être réparées, renforcées ou changées  ce qui nécessitera de faire appel à une Maitre d’œuvre  celle de la société J.D.T.G  pour superviser l’opération.

Comment prévenir la croissance de moisissures?

Lorsque cela est possible, utilisez du bois résistant à la moisissure, comme le cèdre, pour vos projets de construction, particulièrement à l’extérieur, par exemple pour les terrasses ou les palissades, étant donné que ces éléments seront particulièrement exposés à l’humidité. N’exposez jamais du bois nu à l’air libre sur de longues périodes. Si son vernis a disparu, remplacez-le avant que la moisissure ne s’y attaque.

En résumé sur la moisissure

La plupart des gens pensent être à l’abri de la moisissure tant que leur maison n’a pas de fissure ou de fuite. Cependant, tous les bâtiments sont humides, ce qui les rend vulnérables à une prolifération de moisissure. Les constructions modernes, par ailleurs, sont conçues d’une telle sorte qu’elles encouragent la prolifération de moisissures, même lorsqu’elles ne comportent aucune fissure, fuite ou trou.

Le ver à bois

Le ver à bois est la larve du xylophage qui se loge dans le bois. Cet insecte pond des œufs dans le bois non traité. La larve mange le bois en formant de petits trous. De ces trous sortent de la poussière de bois. Le ver à bois peut endommager gravement surtout les meubles et les sols en bois.

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Le parquet 

Un sol en bois authentique figure en bonne place sur la liste des souhaits de nombreux bâtisseurs et rénovateurs. Ce matériau naturel et durable cumule pas mal d’atouts.

Avec son aspect naturel et chaud, le parquet s’intègre à n’importe quel intérieur. Il s’agit d’un matériau séculaire qui est à l’heure actuelle très populaire comme revêtement de sol.

Ce type de sol en bois existe en différentes versions. Des lames en bois massif au parquet multicouche dont seule la couche supérieure est en bois noble.

Outre le parquet massif, il existe d’autres sortes de parquet : multicouche ou lamellé, contrecollé, vieilli et de récupération.

L’humidité peut causer de vilaines taches de moisissure sur votre parquet

Un sol en bambou

Le sol en bambou est une alternative au parquet. Ce matériau écologique est quasi inépuisable.

Un parquet en bambou peut être verni ou huilé et est disponible en teintes de bois claires et plus foncées. Il se caractérise par ses nœuds. C’est un matériau extrêmement dur et donc très résistant à l’usure. Ce sol est par ailleurs peu poreux et résiste donc bien aux taches. Moyennant une couche de protection, le bambou peut aussi être posé dans la salle de bains. Au niveau de son installation, différentes options sont possibles : il peut être collé, cloué ou installé en pose flottante.

Un mot sur les toitures-terrasses sur support bois. (DTU 43.4)

Les toits plats en bois sont constitués de plaques de bois reposant sur une charpente en bois ou en métal.

Présentée comme une alternative intéressante à la dalle en béton, la toiture-terrasse sur éléments porteurs en bois offre les avantages liés à sa légèreté et à la rapidité de mise en œuvre. Cependant, il ne faut pas oublier que ces ouvrages sont particulièrement sinistrables en cas d’erreur de conception ou de mise en œuvre approximative.

La toiture-terrasse bois peut être réalisée avec différents types de solivages (BM, BMR, BMA, BL-C) et d’éléments porteurs (OSB, CTBH, CTBX).

Parmi les erreurs qui peuvent être commises sur les chantiers de toitures-terrasses en bois, lesquelles sont les plus fréquentes et les plus lourdes de conséquences ? 

Les erreurs les plus fréquentes, pour la partie mise en œuvre, concernent les soudures de membranes synthétiques qui peuvent être effectuées à l’air chaud ou à froid. Une soudure mal réalisée entraîne des fuites, et localiser une fuite dans le cas d’une toiture-terrasse est très difficile. Les pathologies les plus graves sont, quant à elles, générées par la condensation. Mais dans ce cas, il s’agit d’erreurs de conception.

Les toitures terrasses : Les composants des toitures terrasses

Les éléments composant une toiture terrasse peuvent différer selon les cas. Cependant, en règle générale, on distingue en partant de l’élément porteur vers l’extérieur :

1) L’élément porteur : de divers types, en maçonnerie, en bois, en acier…C’est le support de la toiture terrasse.

2) L’écran pare-vapeur : protège l’isolation des vapeurs d’eau provenant de l’intérieur du bâtiment.

3) L’isolant thermique : assure la protection thermique de la toiture terrasse.

4) Le revêtement d’étanchéité : contribue à rendre l’ouvrage imperméable à l’eau provenant de l’extérieur.

5) L’écran d’indépendance : facilite l’adhérence du revêtement d’étanchéité à son support.

6) La protection du revêtement : matériaux placés au-dessus du complexe, qui assure sa protection et contribue à l’esthétique de la toiture terrasse.

La mise en œuvre d’une toiture-terrasse avec structure bois.

Une toiture-terrasse en bois est une structure composée de solives sur laquelle sont posés des panneaux de bois ou de métal qui seront isolés et refermés par une plaque de plâtre et où une isolation puis une étanchéité seront placées. Ce type de toiture présente d’innombrables avantages.

Un support bois permet l’utilisation de toutes sortes d’étanchéité et de matériaux.
La structure en bois qui peut prendre appui sur les murs est l’élément porteur. Elle sert de support à des panneaux de bois ou de métal qui vont à leur tour supporter l’isolation et le revêtement d’étanchéité.

La conception de la structure et la mise en œuvre de l’étanchéité sont très importantes pour éviter toute reprise d’humidité. Les panneaux employés doivent être utilisables en extérieur et la structure doit être à même de supporter le poids propre du toit-terrasse mais également les surcharges climatiques (vent, neige, etc.) vous permettra de vous assurer de la stabilité de votre construction en bois.
Pour des portées importantes, il est plus judicieux d’avoir recours à des bois reconstitués du type lamellé-collé que des bois massifs du fait de leur poids.
Les toitures-terrasses en bois sont généralement inaccessibles mais sont tout à fait adaptées aux toitures végétalisées et aux toitures-terrasses accessibles à partir du moment où celles-ci sont prises en compte dans la conception de la structure.

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Les matériaux utilisables

Pour la réalisation d’une structure en bois, les matériaux pouvant être employés sont :

  • Pour les pannes et les chevrons: bois massif, bois massif abouté, bois massif reconstitué, bois lamellé, Lamibois. (Le lamibois est un matériau composite constitué de couches de placage de bois stratifié avec un adhésif).
  • Pour les panneaux :contreplaqué, OSB, panneaux de particules.

Précautions à prendre lors de la mise en œuvre

Les précautions à prendre sont :

  • L’infrastructure doit adopter une pente minimale de 3 %.
  • Les panneaux assurant le contreventement doivent avoir une épaisseur de 22 mm au minimum.
  • En phase chantier et stockage, les matériaux doivent être placés à l’abri des intempéries.
  • Pour l’anti-flambement ou l’anti-déversement de la structure, des entretoises peuvent être nécessaires selon l’importance de l’ouvrage. Ainsi, il faut considérer le calcul des flèches adapté et prendre en compte le fluage.

Les étapes de la mise en œuvre

Une toiture-terrasse est composée de trois parties complémentaires entre elles et dont chacune a un rôle bien précis : la structure porteuse, l’isolation thermique et l’étanchéité.

Les toitures terrasses sont traditionnellement classées en 2 catégories :

  • Les toitures froides qui utilisent un système où la totalité de l’isolant est positionné sous l’élément porteur de l’étanchéité, ventilé en sous face,
  • Tandis que pour les toitures chaudes, au moins les deux tiers de l’isolant sont positionnés au-dessus de l’élément porteur.

À performances thermiques égales, la toiture froide offre une épaisseur de complexe minime par rapport à la  toiture chaude mais réclame beaucoup de vigilance quant à la mise en œuvre de la ventilation.

Il faut retenir que dans le cas d’une maison à ossature bois le type toiture chaude est privilégié par les hommes de l’art, car il apporte une bonne réponse à la fois au regard de l’isolation phonique et de l’isolation thermique.

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